PC-Home - Actu Dépannage informatique à domicile 24/24 7/7
Cloud, stockage et poste client dominent dans la Silicon Valley

La question ne se pose plus en Californie. Toutes les start-up que nous rencontrons proposent des services en ligne le Cloud est omniprésent.
Il reste cepen­dant complexe en faisant appel à de nombreux éléments de base comme une infrastructure, le réseau et le besoin d’orchestrer tout cela pour une performance et une efficacité optimales.
La couche de monitoring et d’administration devient donc critique pour éviter les incidents et garantir la disponibilité du service quel que soit l’élément dans la chaîne de valeur du Cloud.

ThousandEyes donne la visibilité sur le réseauhttp://i1.wp.com/allthingsd.com/files/2013/06/thousand_eyes-380x285.png?resize=380%2C285

Dans le centre de San Francisco, ThousandEyes, fondée par des ingénieurs issus de UCLA, est une jeune entreprise d’à peine trois ans appor­tant une brique importante dans un monde en voie de cloudification totale : la visibilité de bout en bout sur le réseau utilisé via un service en ligne.
Jusqu’à présent il était impossible pour un fournisseur de service en ligne de voir l’en­semble du réseau emprunté par son service, ni d’agir en dehors de son périmètre.
Pour beau­coup de clients, cela se concrétisait par un vaste jeu de ping-pong entre les différents intervenants autour d’un service en ligne.
La start-up apporte une réponse originale à ce problème en instal­lant des «agents privés» dans les entreprises et des “agents publics”sur les principaux points de présence internet et chez les fournisseurs de services en ligne.
Ceci dans le but de proposer sous forme de service une analyse des trafics sur Internet en relation avec un service en ligne pour la performance et la solution a déjà été adoptée par des clients de très haut niveau dont Evernote, Equinix, un très grand fournisseur de salles en colocation, Jive, Heroku .
La plupart des grands services du moment aux USA figurent dans la liste.

Des données oui, mais sous quelles formes ?

Des données, des tas de données, en aug­mentation constante, perpétuelle.
Voici, et ce n’est pas une nouveauté, le constat de toutes les entreprises. http://www.cultureevenement.com/wp-content/uploads/2012/11/evolution_web1-630x279.png
Elles viennent des blogs, des réseaux sociaux, des logs (pour les capteurs par exemple), etc.
Ces nouvelles informations qui s’amassent sont aussi traitées différemment pour être présentables sur différents supports.
Si de nouvelles méthodes graphiques ont été inventées, il reste un certain flou artistique sur le choix de la présentation de ces données gra­phique, camembert, carte géographique ?
Les éditeurs ont inventé de nouvelles manières de visualiser les données, plus actuelles, tendances.
On pense par exemple aux représentations sous formes de hashtag (mots-dièse, en français), de nuages de mots voire de » heat mapp, c’est-à-dire sous forme géographique représentée avec des points chauds via des symboles de taille pro­portionnelle.
Par exemple, La police américaine les utilise pour déterminer des zones plus sen­sibles que d’autres.
Le but est toujours le même : donner une vue synthétique à l’utilisateur data visualisation bien construite doit permettre de mettre en valeur une information, souligne Jérôme Cornillet, directeur Analytics et Visual Analytics chez SAS.

Une chose importante à retenir la différence entre tableau de bord et analyse exploratoire.
La data visualisation doit être la suite logique de l’analyse de données.
D’ailleurs, la plupart des projets qui aboutissent à de la data visualisation ont pour genèse une problématique d’analyse de données.
On parlera donc de tableau de bord dans des cas d’utilisation de type « data journa­lism » par exemple.

Le PHP veut devenir «Le» langage de L’Interner des objets

php_1 ZendCon, la conférence des développeurs PHP, s’est tenue pour la première fois en Europe, à Paris. L’occasion pour Zend, l’entreprise qui développe le PHP, de procéder à quelques annonces et surtout d’affirmer sa volonté de rester le numéro 1 sur le marché des langages serveur.

Sa part de marché ne cesse d’augmen­ter ! Chaque année,le langage PHP de développement open source pour les serveurs web gagne un ou plusieurs points sur ses concurrents — essentiellement sur I’ASE Net de Microsoft et le Java.
En 2013,1e PHP détiendrait ainsi entre 40 et 70% de parts de marché selon les différents analystes.
Pour Andi Gutmans,CE0 et co-fondateur de Zend, la société qui promeut et développe le PHP, ce sont désor­mais plus de 244 millions de sites web dans le monde, soit 4 sur 5, qui utilisent le langage PHP ». Et de citer les plus celebres,Yahoo, Face boo k Disney, mais aussi, en France, la Gendarmerie nationale, Orange ou BNP Paribas.

La communauté des développeurs PHP, qui dépasse 5 millions de personnes dans le monde,deviendrait importante en Europe et surtout en France.
C’est pourquoi Zend a organisé sa première convention Zendeon hors des États-Unis à Paris…

Depuis plu­sieurs années, nous organisons cette conférence en Amérique et les Européens s’y rendent sans problème.
Mais ils représentent entent maintenant plus de la moitié de l’activité PHP
“notre décision d’organiser la convention en Europe.”,  explique Andi Gutmans, qui ajoute aussitôt que “c’est un vrai succès”.Nous avons accueilli plus de cinq cents personnes et j’en arrime à regretter de ne pas avoir trait ça plus tôt,’

En matière de résultats, Zend reste discrète. ” Nous sommes une société privée, nous ne divulguons pas nos chiffres tant que nous ne sommes pas cotés en Bourse”,répète Andi Gutmans société envisage­rait donc de s’introduire sur un marché boursier ?., pourquoi pas!
PHP11Nous suivons le modèle de Red Hat, qui est la plus grande entreprise open source au monde lis ont d’abord papule se” Linux et gagné en crédibilité Puis ils sont entrés en Bourse alors même qu’ils perdaient 4 millions de dollars sur un chiffre efatihires de 10 millions de dollars, explique Andi Gutmans qui s’empresse de préciser que Zend, quant à elle, a été bénéficiaire en 2012 !

Créée en lsraél en 1999 par Zeev Suraski et Andi Gutmans, alors qu’ils étaient étudiants, la société a transféré son siège social à Cupertino, dans la Silicon Valley en 2009.
L’ingénierie et les activités de Recherche & Développement sont toujours basées en lsraël, Financée par des sociétés de capi­tal-risque israéliennes et américaines ainsi que par Intel Capital et SAPVentures, la société a opté pour un modèle « freemium que Andi Gutmans quali­fie de «semer et récolter».
L’utilisation du PHP est gratuite pour le développement d’applications non critiques ou à but non lucratif.
Elle est en revanche payante pour des applications critiques,«mais dans ce cas, les clients n’hésitent pas à payer “, poursuit-il.

 

 

Pour les étourdis : Wist

Les objets connectés devraient rapidement envahir nos vies.
Une sorte d’étape intermédiaire avant Internet of everything ».
D’ailleurs, on peut les classer par catégories.
Par exemple,ceux qui vous facilitent la vie :nous pensons à ces trois jeunes entrepreneurs français qui tentent de lan­cer leur produit, «Wist ». Dans le genre pratique, on ne fait pas mieux : conçu pour les étourdis chroniques, ce gadget sous forme de petit carré vous permettra de ne plus rien perdre, ou plutôt de tout retrouver.
Géolocalisé via une application pour smartphone, vous saurez immédiatement où se trouvent vos Wist.
Idéal pour ceux qui perdent régulièrement leurs clés…
Vous avez aussi plu­sieurs moyens de les retrouver par la géoloca­lisation, par un radar qui vous donne la distance entre vous et l’objet, par une sonnerie ou lorsque le Wist est à plus de 30 mètres de votre portée.
Peut-étre connaissez-vous déjà le Fitbit Flex?
Ce bracelet électronique, rien à voir avec le milieu carcéral renferme plusieurs capteurs qui mesurent votre activité physique quotidienne (calories brûlées, pas et d’instance, etc.) mais aussi pendant la nuit (cycles de sommeil notamment).
Bref,c’est un vrai coach électronique qui se syn­chronise avec votre smartphone, votre tablette et votre PC et vous invite à vous fixer de petits objectifs.

Dans un autre registre, vous pouvez désormais gérer vos ampoules avec vos appareils mobiles.
Mais pas n’importe lesquelles, une ampoule LED à économie d’énergie munie d’un haut-parleur Bluetooth (10 W).
Il suffit de la placer sur n’importe quelle lampe standard et d’utiliser la connexion Bluetooth pour lire la musique de votre ordinateur, tablette ou smartphone. Une petite télécommande à ne pas perdre!

Encore? 
Si vous n’avez pas la main verte, la tech­nologie est là pour vous épauler,avec Koubachi pour commencer : Ce petit appareil en forme de club de golf bourré de capteurs se place dans le pot de fleur à l’intérieur ou à l’extérieur (en ver­sion waterproof) et analyse tous les paramètres essentiels au bon développement d’une plante : ensoleillement, humidité,température,etc.
Ces informations sont synchronisées par WiFi avec vos smartphone et PC.
Koubachi vous fera alors des recommandations en fonction de la variété de votre plante plus de 500 types sont reconnus.
Votre orchidée a besoin d’être arro­sée, brumisée ou rempotée?
Elle vous enverra simplement une notification sur votre iPhone!
Dans le même registre, le Français Parrot a pré­senté Flower Power,un capteur qui vous permet de faire sensiblement la même chose,mais avec une application qui contient une base de don­nées de 7000 plantes.

«MOTHER» pour connecter vos objets

Cette différence est primordiale dans la manière d’aborder le sujet et ses applications.Sen.se_mother
Nous consta­tons d’ailleurs que les personnes impliquées dans ces sujets se cherchent encore.
Prenons l’exemple le plus récent celui de Sen.se, la nou­velle start-up de Rail Haladjian.
Elle propose Mother votre maman 2.0, qui vous permet de connecter votre monde à un seul objet. Internet des objets ou objets connectés?
Telle est la qu s­tion. Pourtant, la volonté de Rafi Haladjian (fon­dateur d’Ozone ou encore de Violet et de ses lapins Nabaztag) est celle-ci : rendre les objets du quotidien communicants, et non pas l’inverse.

Le concept ?
Votre Mother branchée en Ethernet sur votre box Fibre/ADSL qui devient le chef d’or­chestre d’une famille de capteurs appelés des cookies».
Ce sont eux qui vont jouer le rôle le plus important.
Pour chaque chose de la vie, vous pouvez utiliser un cookie qui suivra votre acti­vité.
Pour cela, Sen.se a développé une quinzaine d’applications d’autres verront le jour au fur et à mesure, les API seront ouvertes.

Médicament : pour veiller à ce qu’une personne prenne ses médicaments et le lui rappeler.
Expresso : pour comptabiliser les cafés consommés par jour, et vous prévenir avant épuisement du stock de cap­sules par exemple.
Ou encore Présence en temps réel, savoir qui est parti ou présent dans l’habitat.
De nombreux exemples figurent https://sen.se/ sur le site de Sen.se.

Quelques précisions sur les cookies ils contiennent un accéléromètre, un module de communication radio et un thermomètre.
Selon Rafi Haladjian, ils ont une autonomie d’environ 15 mois, mais cela dépend aussi de leur utili­sation.
Charge à l’utilisateur de remplacer la pile une fois qu’elle est usée. Concernant la portée entre cookies et Mother, elle est égale à celle de votre couverture Wi-Fi.
Enfin, l’utilisateur pourra gérer ses cookies et sa (ou ses) Mother(s) via une interface web à la sauce Flipboard : elle est d’ailleurs baptisée Sen.se Board.
Des applications (i0S et Android) seront également disponibles à ta sortie du produit.