Vous ne vous rappelez plus où vous avez laissé votre voiture ?
D’une pression sur votre montre connectée, faites-la klaxonner de façon à la repérer au milieu du parking géant de l’hypermarché.
Vous êtes en retard pour votre rendez-vous?
Laissez donc votre auto trouver seule une place de parking!
Tout cela n’est qu’un aperçu des applications qui vont transformer l’automobile cette année.
Intelligente, de plus en plus autonome, la voiture connectée est en train de passer à la vitesse supérieure.
Auto sans pilote.
D’autres travaux sur la voiture connectée vont encore plus loin.
Les équipementiers automobiles traditionnels l’allemand Bosch ou le français Valeo (présent pour la première fois au CES, signe des temps) rivalisent d’ingéniosité pour rendre nos véhicules plus intelligents.
L’an dernier, la Mercedes Classe S avait déjà défrayé la chronique en montrant qu’elle était capable de conduire seule à basse vitesse dans les bouchons, tout en anticipant les nids de poule.
2014 ne sera pas en reste.
Confort, sécurité, ergonomie, connectivité…
La seule limite au progrès semble être l’imagination des ingénieurs, déjà très fertile.
Jugez plutôt: alors que les procédés d’aide au stationnement obligeaient encore le conducteur à garder les pieds sur les pédales, plusieurs fabricants nous annoncent la voiture qui se gare toute seule…
Certes, l’intelligence de ces nouvelles autos n’est pas toujours parfaite. Il reste encore quelques bugs à corriger. Le Stop & Go Pilot de la Classe S qui prend la main dans les bouchons, par exemple, se désactive dès que le marquage au sol devient illisible. “La difficulté est essentiellement logiciel, estime Laurent des Places, associé en charge du secteur automobile au sein du cabinet d’audit KPMG.
Ces systèmes n’ont pas encore accumulé assez d’expérience pour être réellement autonomes. Dans des situations délicates, ils auront du mal à effectuer des choix critiques, du type : vaut-il mieux éviter le piéton ou le lampadaire?”
connectivité… La seule limite au progrès semble être l’imagination des ingénieurs, déjà très fertile. Jugez plutôt: alors que les procédés d’aide au stationnement obligeaient encore le conducteur à garder les pieds sur les pédales, plusieurs fabricants nous annoncent la voiture qui se gare toute seule…
Certes, l’intelligence de ces nouvelles autos n’est pas toujours parfaite. Il reste encore quelques bugs à corriger. Le Stop & Go Pilot de la Classe S qui prend la main dans les bouchons, par exemple, se désactive dès que le marquage au sol devient illisible. “La difficulté est essentiellement logicielle, estime Laurent des Places, associé en
charge du secteur automobile au sein du cabinet d’audit KPMG. Ces systèmes n’ont pas encore accumulé assez d’expérience pour être réellement autonomes. Dans des situations délicates, ils auront du mal à effectuer des choix critiques, du type : vaut-il mieux éviter le piéton ou le lampadaire?”