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La patronne de la Cnil inflige une amende record à Google

Estimant que le célèbre moteur de recherche n’a pas rendu sa politique de confidentialité des don­nées sur Internet conforme au droit français, la Cnil lui a infligé une amende record… de 150 000 euros.
“Augmenter le montant des sanctions serait une bonne idée”, a précisé Isabelle Falque Pierrotin, prési­dente de l’organisme.
C’est sûr que pour un groupe qui a réalisé près de 15 milliard de dollars de chiffre d’af­faires au 3′ trimestre 2013, il n’y a pas de quoi s’af­foler.
Google a quand même fait appel de la déci­sion.
On ne sait jamais…

Top départ pour le paiement mobile

Dès cette année, vous pourrez payer dans les magasins avec votre smartphone.
Les technologies arrivent à maturité, mais difficile de dire laquelle va l’emporter. Géants
du Web, banques et enseignes se livrent bataille pour capter ce marché.

Bientôt, lorsque vous pénétrerez dans votre boutique préférée, votre photo et votre identité apparaîtront comme par magie sur l’ordinateur du vendeur.
Et au moment de régler vos achats, votre smartphone déclenchera le débit sans que vous ayez à sortir les mains de vos poches.
Voilà ce que promet PayPal avec son système Beacon, dévoilé en décembre dernier lors de la conférence Le Web à Paris.
Ce nouveau mode de paie-ment, en cours de lancement aux États-Unis, “reconnaît” le client dès que celui-ci entre dans un magasin, à deux conditions.
La première, que la fonction Bluetooth de son smart-phone soit activée.
La seconde, que l’acheteur ait préalablement autorisé le commerçant à récupérer les informations indispensables.
Ensuite, il n’est même pas nécessaire d’ouvrir une application au moment de l’achat.
Pour éviter les débits injustifiés, le téléphone affiche une notification à son propriétaire lors de chaque opération, afin qu’il puisse vérifier les montants prélevés.
Paiement Invisible. “Les gens adorent acheter, mais personne n’aime payer…”, affirme, pince-sans-rire, David Marcus, le patron de PayPal.
Voici pourquoi il prône le “paiement invisible” et pronostique la fin des caisses en magasin…
Peut-être va-t-il un peu vite en besogne.
Car les bons vieux moyens de règlements traditionnels (espèces, cartes bancaires, chèques) restent ultradominants. Jusqu’à présent, les consommateurs se sont détournés du paiement sur mobile soit parce que l’offre semblait trop complexe, soit parce qu’ils n’avaient pas confiance dans la sécurité de telles transactions.
Mais les choses vont évoluer dès cette année.
La dynamique enclenchée semble difficile à arrêter.
D’après le cabinet Gartner, les transactions par mobile (en ligne ou en magasin) ont représenté 235 milliards de dollars dans le monde en 2013, un montant qui devrait tripler d’ici à 2017 pour atteindre 721 mil-liards (et concerner 450 millions d’utilisateurs).
Visa prédit même que d’ici à 2020, en Europe, un achat sur deux en magasin s’effectuera ainsi.
Tout comme PayPal, Google et les autres géants du Net ont déjà investi ce créneau.
Les banques, les enseignes de la grande distribution et de nombreuses start-up indépendantes leur ont emboîté le pas.
“Cette multitude d’acteurs laisse anticiper un taux de mortalité élevé dans le secteur d’ici à la fin de la décennie”, anticipe déjà le bureau d’études Xerfi.
Dans cette bataille annoncée, le premier enjeu est celui du portefeuille électronique.
Ce dispositif, qui se substitue à la carte bancaire, épargne au consommateur la saisie de son numéro à 16 chiffres lorsqu’il effectue un achat en ligne depuis son smartphone.
Un identifiant et un code secret suffisent alors pour payer.
Le pionnier et leader incontesté en la matière, PayPal, revendique 5,5 millions de comptes actifs en France.
Au niveau mondial, la multinationale américaine a enregistré l’an dernier 20 milliards de dollars de transactions sur mobiles, une somme qui a été multipliée par cinq en seulement deux ans.
Fort de son expérience, PayPal propose depuis quelques mois au Royaume-Uni son système Check-In. Grâce à lui, le mobinaute peut géolocaliser le magasin où il se trouve et préautoriser le commerçant à débiter son porte-monnaie électronique lors de ses achats.

Une solution management a distance

La jeune pousse s’est d’abord illustrée par le développement d’un utilitaire destiné à optimiser les performances des https://az417896.vo.msecnd.net/Images/Business/LaunchProductPage/FinalStripImages/overtheweb_android.jpg?_cache=20_01_14_15_56PC et à dépanner Windows.
Ce logiciel qui repose sur un fonctionnement intuitif, diagnostique les différents bugs ou mises à jour nécessaires.
But de la manoeuvre éliminer les frustrations des utilisateurs de PC causées par des écrans figés ou des incompatibilités entre programmes.
Le produit trouve rapidement son public.
Lauréat du TechCrunch Disrupt en 2010, l’outil doté d’un design attractif et d’une interface ultra simple, est téléchargé plus de 3 millions de fois. Sachant que la solution web est proposée gratuitement dans une limite de trois PC.
Soluto est toutefois sortie du lot en tançant il y a quelques mois une offre de prise en main à distance pour iPad et iPhone.
Un virage dans le mobile qui lui confère une visibilité sur un marché fortement concurrentiel.
La jeune pousse a également opté pour un nouveau modèle de business », en visant principalement les décideurs informatiques ainsi que les PME, au travers d’un service de maintenance facturé 8,33 dollars par mois.
Dans le giron d’Asurion, la start-up qui avait déjà levé près 20 millions de dollars auprès d’inves¬tisseurs tels que Giza, Bessemer ou encore

BackBlaze : stockage en ligne illimité pour le grand public

Cela faisait plusieurs années que nous n’étions pas retourné voir cette start-up proposant du stockage pour le grand public et les entreprises.
En quelques années, elle a bien grandi et stocke désormais plus de 75 Petaoctets de données : 85 % des clients se réengagent chaque année sur la solution.
L’idée de BackBlaze est de proposer la solution la plus simple possible pour que tout-un-chacun sauvegarde ses données, alors que, selon des chiffres fournis par BackBlaze, 90 % des consommateurs ne font pas de backup car ils trouvent cela trop compliqué.
La solution sauvegarde toutes les données, à l’exception des OS et des applications pour un stockage illimité et sans configuration sur le poste client, à l’exception d’un agent qui s’installe lors de la première sauvegarde.
Le backup se réalise ensuite de manière incrémentale et en continu.

Le prix est de 5 $ par mois, D’ailleurs, le CEO de BackBlaze s’amuse à citer en exemple un client qui réussit à sauvegarder 35 To à partir d’une seule machine vers ses centres de données !
Trois modes de restauration sont proposés : en ligne pour les petites restaurations de fichiers, sur une clé USB jusqu’à 64 Go ou sur un disque externe pour des restaurations de 3 Ta Les deux derniers modes entraînent des frais d’expédition par Fedex.

CloudByte se veut le concurrent d’Amazon AWS

Notre dernière visite chez CloudByte remontait à six mois, Greg Goelz, a depuis, fait quelques constatations sur le marché du stockage.
Celui-ci a évolué vers une approche plus stratégique et la politique de stockage compte désormais plus que le prochain équipe¬ment à acheter.
Le NAS connaît un développement rapide mais jusqu’à quand ?
Des acteurs comme Amazon profitent d’avantages concurrentiels forts, comme le fait d’utiliser des matériels de commodités et des logiciels maisons pour construire des solutions fiables et évolutives.
Pour contrecarrer les plans d’Amazon, Greg Goelz a décidé de faire de CloudByte une solution reprenant ces éléments de base mais en faisant encore moins cher et plus efficace pour viser les fournisseurs de services web à la recherche d’une solution alternative pour offrir des services de haut niveau à leurs clients.
Il s’agit donc, à l’instar d’Amazon, de repenser autrement l’architecture de stockage pour répondre aux défis du Cloud.
Techniquement, la solution, Elastistor, repose sur FreeBSD et des pilotes supportant le système de fichiers ZFS et des services de données et un hyperviseur de stockage.

À côté des services d’orchestration et de supervision, elle administre la cohérence de la solution.
L’ensemble est exposé par une API REST pour s’intégrer avec le reste du système d’information.
Une console web unique, ElastiCenter, se charge du rôle de l’administration.
La console propose des rapports et un système d’alertes sur incidents mais aussi des solutions de remédiation pour résoudre des problèmes à plus long terme. Pour les services de données, des contrôleurs multitenants se relient par un switch aux applications et se décomposent en différentes machines virtuelles avec des adresses IP et des ports virtuels et un contrôleur de ressources et de qualité de service.
L’ensemble est là pour répondre aux besoins pour chaque application présentée dans l’entreprise et s’adapte dynamiquement.
Là encore, la solution est de type Scale Out.

http://www.cloudbyte.com/